1.
Pièce de métal, composée de deux branches, fixée au talon du cavalier et terminée par une roue à pointes ou par une tige acérée pour piquer les flancs du cheval. Pointe d'acier dont on arme les pattes (d'un coq de combat). Faire sonner ses éperons. Piquer des éperons (cf. Piquer des deux*). Éperon de bronze, d'argent, de vermeil : examen de la Fédération française des sports équestres sanctionnant divers niveaux d'équitation
2.
Par anal. Ergot du coq, du chien. molette
3.
Bot. Prolongement en cornet effilé du calice, de la corolle ou des pétales d'une fleur. Éperon de la capucine.
4.
Pointe de la proue d'un navire. Éperon des trirèmes antiques.
5.
Avancée en pointe d'un contrefort. Éperon d'une montagne. Éperon rocheux.
6.
Ouvrage en saillie et en pointe servant d'appui. Éperons d'un pont.
1.
Pièce de métal à deux branches, qui s’adapte au talon du cavalier et dont l’extrémité pointue ou portant une molette sert à piquer les flancs du cheval pour le stimuler.
2.
Prolongement en forme de tube de la corolle ou du calice (ne concerne parfois qu’un pétale ou sépale particulier).
3.
Partie de la proue d’un bâtiment qui se termine en pointe et qui a plus ou moins de saillie en avant.
4.
Partie d’un contrefort, d’une chaîne de collines ou de montagnes qui se termine en pointe.
5.
Meuble représentant l’objet du même nom dans les armoiries. Il est composé d’une branche en métal en U avec une tige au bout de laquelle se trouve une molette à six rais mais le nombre peut varier d'un illustrateur à l’autre. Il est représenté en pal, la molette vers le chef (haut). Dans les représentations anciennes, il est parfois muni d’une sangle en cuir. À rapprocher de molette d’éperon.