1.
Fig. Face, partie supérieure (de qqch.); ce qui est plus haut que qqch. Le dessus de la main, d'une table, d'une armoire. Le dessus d'un tissu. L'étage du dessus; les voisins du dessus. Le dessus du panier : ce qu'il y a de meilleur (cf. La crème, la [fine] fleur, le gratin).
2.
Nom de certains objets qui se placent sur qqch. (pour protéger, garnir). Dessus de plateau, de buffet, de cheminée en tissu.
3.
Par ext. Registre vocal le plus haut instrument le plus aigu d'une famille. Partie aiguë du clavier de l'orgue. Dessus d'un théâtre : étages au-dessus de la scène et dans lesquels peuvent remonter les décors. Dessus de viole.
4.
Fig. Avoir, prendre, reprendre le dessus. Avoir le dessus dans un combat, dans une discussion. Prendre, reprendre le dessus (sur une douleur physique ou morale). Il a repris le dessus après son licenciement.
5.
Loc. adv. Spécialt Pour indiquer une supériorité nombrable. Plus au nord ou en amont. Les chambres sont au-dessus. La température atteint 40° et au-dessus (cf. Au-delà). Donnez-moi la taille au-dessus. Il n'y a rien au-dessus. L'avion est au-dessus de la Méditerranée. Jupe au-dessus du genou. Accrocher un tableau au-dessus du lit. Les enfants au-dessus de quinze ans ne sont pas admis. Dix degrés au-dessus de zéro. Vendre au-dessus du cours. L'Ain se jette dans le Rhône au-dessus de Lyon. Être au-dessus de (qqch.) : dominer une situation, être supérieur à; mépriser. Ces critiques ne le gênent pas, il est au-dessus de tout cela, cela ne l'atteint pas, ne l'effleure pas.
1.
À la partie, à la face supérieure.
2.
Qui est placé sur autre chose.
3.
La partie qui est au sommet ; l’endroit, le côté supérieur.
4.
Partie la plus haute, celle qui est opposée à la basse.
5.
Se dit également d’une personne qui chante le '''dessus'''.
6.
Partie la plus élevée d'un région, d'une ville. [Note : dans ce cas le mot est toujours au pluriel].