1.
Loc. fam. Tube creux (de roseau, de carton, etc.) garni à ses deux extrémités d'une membrane (papier fin, peau d'oignon; cf. Flûte à l'oignon), et percé d'une ouverture latérale près de chaque bout, sur laquelle on applique les lèvres pour nasiller un air. Vers de mirliton (du genre de ceux qui sont imprimés sur les bandes de papier entourant en spirale les mirlitons) : mauvais vers.
2.
Accessoire de cotillon, serpentin qui se déroule sous l'effet du souffle en émettant un son nasillard. flûtiau
1.
Membrane vibrante recouvrant un trou et mise en branle par un souffle ou une vibration sonore, produisant un son nasillard.
2.
Sorte de flûte très simple, formée d’un roseau bouché par les deux bouts avec une pelure d’oignon, un morceau de baudruche, du papier etc. En chantonnant dans le tube, on fait vibrer cette membrane qui transforme la voix en sons nasillards.
3.
Accessoire de cotillon consistant en un sifflet encastré dans un tube de carton décoré dans lequel on souffle et au bout duquel se déroule alors d'un coup et avec un couinement une partie supplémentaire; également appelé langue de belle-mère.
4.
Feuilleté à la crème saupoudré de sucre, de forme allongée et originaire de Rouen.
5.
Coiffure militaire rigide et conique en feutre, avec une bande de tissus roulée autour en spirale, légèrement différente du shako, portée autrefois par certaines unités de hussards.
6.
Panneau de signalisation ferroviaire, utilisé à la SNCF.
7.
Ancienne coiffure en vogue au XVIII siècle, où les cheveux courts étaient enroulés autours de la tête.
8.
Nom commun donné au louis d’or de 1723.
9.
Nom vernaculaire de la chayote.