1.
Oiseau grimpeur de la taille du pigeon (piciformes), nichant dans des trous d'arbres et se nourrissant surtout de vers, de larves qu'il fait sortir des écorces en y frappant à coups répétés de son bec conique. Pic-vert. Pic épeiche, pic rouge. Pic noir ou pic de montagne.
1.
Oiseau grimpeur se nourrissant de larves qu’il va chercher dans l’écorce en la frappant par des coups de bec répétés pour tester la résonance du bois (martèlement) ; communiquant également avec ses congénères par ce moyen (tambourinage)<ref>https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/oiseaux/le-pic-vert-reconnait-ses-amis-a-leurs-tambourinages_121176</ref> et creusant son nid dans un tronc d’arbre.
2.
Nom normalisé donné à 26 genres comprenant 201 espèces d'oiseaux grimpeurs et insectivores de la famille des picidés (ordre des piciformes) caractérisés par leur aptitude à grimper le long du tronc des arbres à l'aide de leurs pattes zygodactyles, par leur bec droit et robuste avec lequel ils perforent l'écorce et le liber des arbres par tambourinage, en quête de larves d'insectes, de fourmis et autres insectes xylophages ou xylophiles, et par leur os hyoïde très long qui amarre leur très longue langue et qui aide à amortir les chocs répétitifs du bec contre l'arbre et protéger ainsi contre le stress crânien; les picidés sont distribués partout dans le monde sauf en Australasie, à Madagascar et en Antarctique (genres principaux: ''Picus'', ''Melanerpes'', ''Celeus'', ''Veniliornis'', ''Campephilus'', etc.).
3.
Instrument de fer courbé, pointu, à long manche, dont on se sert pour casser des fragments de rocher ou pour ouvrir la terre.
4.
Coup qui permet au joueur, parvenu à trente points sans que son adversaire ait rien marqué, de doubler son avantage et de marquer soixante points.
5.
Mesure de longueur, en usage dans toutes les échelles du Levant, et qui contenait deux pieds deux pouces deux lignes, c’est-à-dire 3/5 de l’aune de Paris.
6.
Mot cité sans sens précis dans la comptine enfantine ''ams tram gram''.